ENTRÉE dans une ère de violence et de haine depuis les deux fameux assassinats politiques de Chokri Belaïd et de Hadj Mohamed Brahmi, la Tunisie ne cesse de se mordre la queue à la recherche d’une discipline administrative policière et d’Etat qui permette de rétablir l’ordre et la hiérarchie sans retomber dans la dictature et la répression d’antan. Tout porte …